Portugal 2021 – Museu Nacional dos Azulejos

Histoire

Le Musée National des Azulejos présente des azulejos de la 2nde moitié du 15ème siècle à nos jours. L’art des azulejos est un art omniprésent au Portugal, on le retrouve aussi bien dans les maisons que sur leurs façades, sur le sol, etc…

Le musée se tient dans l’ancien couvent de Madre da Deus, fondé en 1509.

Le mot azulejo désigne tous les carreaux de faïence. Il vient du mot al zulaicha qui signifie pierre polie.

Le musée

Le musée se visite sur 3 niveaux :

  • le rez-de-chaussée
  • le 1er étage
  • le 2ème étage

Le rez-de-chaussée

Azulejo

Sont présentés des azulejos du 15e au 17e siècle. On y apprend quelles sont les matières premières utilisées, mais aussi la cuisson, les découpes, les motifs, etc… Egalement qu’ils ont représenté plusieurs scènes telles que la guerre, la chasse, les portraits, les végétaux, le monde marin, les animaux, les légendes ou la religion.

On peut déambuler dans 2 cloîtres qui datent de la construction du couvent et admirer l’église richement décorée datant du 18ème siècle.

Azulejo

Le 1er étage

Là sont présentés des azulejos du 18ème au 20ème siècle. De style baroque au contemporain en passant par l’art nouveau et l’art déco.

Le haut-chœur et la balustrade nous donne un autre point de vue de l’église. Ils sont précédés par la chapelle Saint-Antoine où une crèche majestueuse est dévoilée.

Une des pièces annexes présente une exposition temporaire de carreaux de faïence.

Azulejo

Au 2ème étage

C’est l’apothéose du musée ! Un immense panneau d’azulejos se déploie, montrant Lisbonne en 1735. Il mesure 22 m de long sur 1,15 m de large.

Ce panneau nous révèle le passé religieux et maritime de Lisbonne.

Nous avions vu ce musée Mister Freeze et moi il y a très longtemps (il me semble presque au début de notre rencontre). Il est toujours aussi beau. Même si Miss Ratatouille a apprécié la visite, un parcours plus ludique pour enfant serait la bienvenue à mon avis.


Tarifs

0 – 12 ans = gratuit / 13-64 ans = 5€ / +65 ans = 2,50€

Portugal 2021 – Aquarium Vasco de Gama

L’Aquarium Vasco de Gama se compose de 2 parties :

  • l’aquarium au rez-de-chaussée
  • le musée au premier étage

L’aquarium

Nous pouvons y voir divers espèces et spécimens d’eau douce, salée ou saumâtre. Toutefois, c’est la faune des côtes portugaises qui est mise à l’honneur.

Aquarium
Bien sûr Dory était présente, nous avons même rencontré Marin et Némo !

L’eau douce

Bien qu’ils ne représentent qu’une infime partie de la totalité de l’eau sur Terre, les habitats d’eau douce abritent tout de même près de 41% des poissons existants.

La faune portugaise

Entre ses 800 km de côtes, les archipels de Madère et des Açores, la faune marine portugaise est connue pour sa diversité. C’est d’ailleurs l’une des plus grandes ressources du pays. Ici, on la retrouve dans pas moins de 37 aquariums de 600 à 25 000 L.

La faune marine tropicale

On y retrouve principalement des coraux et des écosystèmes très colorés et variés.

Aquarei

Le musée

Le roi Dom Carlos Ier exposa ses spécimens zoologiques dans une des salles en 1898. Le musée se créa au fil des années et s’enrichie au fur et à mesure des recherches et découvertes du roi.

Dans ce domaine, il est considéré par beaucoup comme l’un des pionniers mondiaux, ayant laissé une œuvre de reconnaissance internationale. C’est pourquoi il est aussi appelé : le Père de l’océanographie portugaise. Qui plus est, sa devise était Connaître et faire connaître.

La collection privée du roi fut léguée à la Ligue Navale Portugaise en 1910 lors de sa mort. La première exposition permanente du Musée de l’Aquarium Vasco de Gama fut organisée en 1913. Après un agrandissement, la collection rejoint définitivement le musée actuel en 1935. Elle regroupe pas moins de 2200 espèces, plusieurs instruments scientifiques de l’époque et plus de 600 livres, illustrations et manuscrits.

Aquarium

Le musée a donné naissance à un laboratoire de taxidermie où sont formés des préparateurs et des taxidermistes nationaux comme internationaux. L’Aquarium Vasco de Gama est devenu une référence dans ce domaine.

Il ne faut pas le comparer à l’Océanorium de Lisbonne. Les deux, même s’il s’agit du monde marin, ne parlent pas de la même chose. Ici, c’est plus local, national, le pays est vraiment mis en avant et est surtout historique puisqu’initié par l’avant-dernier roi du Portugal.

A taille humaine et bien agencé, la visite est sympathique mais pas indispensable.


Tarifs

0-3 ans = gratuit / 4-12 ans = 2,50€ / 13-64 ans = 5€ / +65 ans = 2,50€

Portugal 2019 – Evora

Comme l’année passée, nous découvrons une nouvelle ville portugaise : Evora.

Capitale de la région de l’Alentejo, la ville d’Evora est inscrite au Patrimoine Mondial de l’Unesco depuis 1986. Située à environ 120 km de Lisbonne, Evora offre le calme et le charme d’une ville provinciale. Chaque période historique a apporté sa pierre (c’est le cas de le dire) : du Néolithique au 18ème siècle.

Cromlech d’Os Almendres

En 1960, un monument préhistorique (« Cromlech ») est découvert. Près d’une centaine de « menhirs » aux dimensions et aux formes variées sont placés dans une formation semi-elliptique selon un axe Est-Ouest. Les recherches durant les années 70 et 90 ont confirmé que l’installation des pierres a été faite entre les 6ème et 4ème millénaires avant J-C durant la période mégalithique très active dans la région de l’Alentejo.

Evora

Au bout de 4km de route très cabossée (4×4 et SUV sont les bienvenus), la singularité du site s’offre à nous. Actuellement 92 pierres sont encore visibles, 92 pierres qui ont traversé l’Histoire.

Miss Ratatouille, qui a récemment été au parc Astérix, a tout de suite fait l’amalgame avec les menhirs d’Obélix… (au secours !). Elle a cependant tenté de retrouver les gravures sur les pierres, sans succès (et donc elle n’a pas aimé…).

Comme pour Skara Brae dans les Orcades en Ecosse, je me sens très petite devant de tels sites et une grande humilité m’envahit. Le site portugais (entre -5000 et -3000) est plus ancien que l’écossais (-3200) et même que Stonehendge (entre -2800 et -1100).

Près du village de Guadalupe, avant Evora / ouvert tout le temps

Gratuit

Sé Catedral de Evora

De son véritable nom Cathédrale Basilique de Notre-Dame-de-l’Assomption, elle est construite en 1186, consacrée en 1204 et achevée en 1250. Son clocher en forme de pomme-de-pin est visible depuis des kilomètres à la ronde. Elle traduit la transition entre les architectures romanes et gothiques.

Evora

Plusieurs combinaisons de tickets d’entrée sont possibles :

  • 1,50€ la cathédrale seule
  • 2,50€ la cathédrale + le cloître
  • 3,50€ la cathédrale + le cloître + la tour
  • 4,50€ la cathédrale + le cloître + la tour + musée des Arts Sacrés

Nous avons choisi la formule à 3,50€ parce que nous voulions faire le musée d’Evora et que nous ne voulions pas accabler Miss Ratatouille.

La Tour

La visite commence par la tour. Nous sommes d’abord montés sur la terrasse panoramique. Là, une vue à 360° où l’on voyait loin tellement le ciel était dégagé (initialement nous devions aller à Sintra mais le temps était très nuageux avec à peine 20°C. 32°C aujourd’hui à Evora contre 39°C la semaine prochaine, notre choix ne s’est pas fait attendre). Le clocher est étonnant avec sa forme en pomme-de-pin.

Au premier niveau, se trouve le haut chœur de style manuélin. L’énorme chandelier en chêne date de 1562. Vue plongeante sur la nef centrale, superbe.

Le cloître

Nous poursuivons ensuite par le cloître. Construit en 1325 dans un style gothique, il est très sobre et épuré. Les 4 angles présentent des statues d’Apôtres.

C’est un endroit que j’aime beaucoup en général. C’est calme, paisible, un moment d’introspection.

L’intérieur de la cathédrale

Il est divisé en 3 grandes nefs. La nef principale est la plus haute, on peut y voir un autel à la gloire de Notre-Dame-de-l’ange (Senhora do O) en bois doré finement sculpté, ainsi que l’orgue qui date de 1562.

Tout au bout de la nef centrale, se trouve la chapelle majeure en marbre rose et bleu et date du 18ème siècle (ils ont détruit la gothique pour faire celle-ci).

Le mélange des courants artistiques et des matériaux est surprenant, quelque peu confus. Certaines parties des nefs ont été un peu trop restaurées et cela se voit, dommage.

Evora

Dans le centre historique, tous les jours de 9h à 12h et de 14h à 16h30 (de 9h à 16h50 entre juillet et septembre)

Tarifs adultes ci-dessus / gratuit moins de 12 ans

Le temple romain

Dédié à Diane, il date de la 1ère moitié du 1er siècle après J-C. Il est classé au Patrimoine Mondial de l’Unesco. On doit son très état de conservation au fait qu’il ait été incrusté à une tour du Château d’Evora durant le Moyen-Age et seulement dégagé au 19ème siècle.

Je n’ai jamais été à Rome ou en Grèce, c’est la 1ère fois que je me suis retrouvée face à un édifice de cette période. J’étais fascinée et stupéfaite que cela soit encore debout et avec quelle finesse il pouvait être décoré. Il est, en plus, très photogénique.

evora

Dans le centre historique / ouvert tout le temps

Gratuit

Musée d’Evora

Totalement refait en 2009 (mais datant de 1915), le musée présente un espace de collections permanentes (du Néolithique au Contemporain) ainsi qu’un espace d’expositions temporaires.

evora

On n’imagine pas, en y entrant, le dédale de pièces que le musée peut contenir. Ce que je leur reproche c’est un manque de cohérence entre chaque pièces (on commence au 16ème siècle, puis à l’époque romaine, puis au 15ème siècle pour finir par le Néolithique en passant par des peintures des années 60-80).

En revanche ils ont de très belles peintures de peintres Flamands et des vestiges archéologiques. Le musée est très bien éclairé, les salles permettent d’apprécier les œuvres.

evora

Dans le centre historique, à côté de la cathédrale / tous les jours de 10h à 18h (9h30 à 17h30 de novembre à mars)

Tarifs : 3€ adultes / gratuit moins de 14 ans

L’université

La fondation de l’Université de Evora remonte au 16ème siècle pour abriter une communauté de jésuites séminaristes. Le 1er cours a été donné le 28 août 1553 dans le Cloître qui est à l’origine du Colegio do Espirito Santo. Le 15 avril 1559 est la date qui a été retenue comme la naissance de la 2nde université du Portugal (d’après une bulle papale). Fermée en 1759 par le Marquis de Pombal, elle ne rouvrira qu’en 1973 comme université publique. Sa devise est tirée de vers du poète Luis de Camoes : « Honesto estudo com longa experiência misturado » (honnête étude avec longue expérience).

evora

Très très belle université, nous avons tous les 3 beaucoup aimés, surtout Mister Freeze. Miss Ratatouille ne comprenait pas trop le terme d’étudiants, elle disait, en voyant le réfectoire : « ah, mais c’est là que les enfants mangent ? ». Nous nous sommes donc lancés dans l’explication de l’après primaire, puis l’après collège, puis l’après lycée… « ah bon tout ça ?!? Et moi ? Je serai une étudiante aussi un jour ? » Nous l’espérons mon cœur, nous l’espérons.

Tout autour du cloître, s’ouvrent diverses salles de cours toutes dotées de chaires et décorées d’azulejos illustrant la matière enseignée. Au centre, la salle des actes, où l’on remet les diplômes, est assez solennelle et elle aussi décorée d’azulejos.

Puis l’on continue dans les étages qui servaient de dortoirs aux jésuites, et qui sont désormais les salles des professeurs. Une petite chapelle joliment sculptée et une bibliothèque très belle sont présentes.

Je n’ai pas fait de photos de la bibliothèque parce qu’elle était occupée par des étudiants en plein travail. En fait, passé le cloître, j’ai eu le sentiment d’intrusion et de ne pas y avoir ma place. La dame de la boutique nous a expliqué que les élèves étaient en vacances, mais que l’université n’était pas fermée pour autant. En effet, différents cours en petit comité, ateliers, conférences etc… se tenaient tout l’été. Elle vaut malgré tout le coup d’être visitée.

Petite anecdote : mon père faisant collection de boîtes à pilules, Miss Ratatouille a voulu lui en trouver une. N’en voyant pas, Mister Freeze demande à la dame qui nous répond qu’il n’y en a pas mais que c’est une bonne idée qu’elle va suggérer parce qu’il y a des cours de pharmacologie. Donc si vous trouvez des boîtes à pilules lors de votre prochain voyage, pensez à nous 😉

Tous les jours sauf dimanche et jours fériés de 9h à 20h (10h à 19h30 en été)

Tarifs : 3€ adultes / gratuit moins de 12 ans

Portugal 2019 – Oceanorium

Nous voici en vacances au Portugal pour 3 semaines. Au programme : des visites mais surtout beaucoup de repos.

Aujourd’hui nous avons visité l’Oceanorium de Lisbonne.

Posé sur l’eau dans l’ancien bassin des Olivais, c’est sans doute la tentative la plus audacieuse de l’Expo 1998. Guide du Routard 2018

Le pont Vasco de Gama, la gare do Oriente et l’Oceanorium

Une exposition temporaire (pas si temporaire que cela finalement parce que nous l’avions déjà vu en 2016) présente différents aquascaping. Je trouve ça tellement reposant, calme et paisible.

Tout tourne autour du bassin central qui contient l’équivalent de 4 piscines olympiques. Là, on peut y voir des poissons de haute mer comme des requins, un poisson-lune, des raies, etc…

Nous avons pu voir les plongeurs en plein ouvrage : nettoyage des fonds ainsi que des parois, et alimentation des requins et autres gros poissons. Les enfants leur faisaient coucou de la main et ils répondaient. La seule interaction entre le monde marin et le monde humain.

Les loutres et les pingouins ont toujours autant de succès.

J’adore cet endroit, passionnant comme relaxant que ce soit pour les petits comme pour les grands. Je pourrais rester des heures à les regarder. On y apprend des choses, on découvre, on redécouvre, on s’étonne, on s’interroge. Bref je ne peux que vous conseiller, vous inciter à aller le voir.

Oceanorium de Lisboa – Parque das Naçoes

17,10€ plein tarif / 11,70€ 4 à 12 ans / gratuit pour les moins de 3 ans

Nous avons ensuite déjeuné dans un resto trouvé sur TripAdvisor. Pour 8,50€ le menu unique comprend le pain et les olives, le plat, la soupe ou le dessert. Monsieur a pris un hamburger, Petite Puce des spaghettis aux boulettes de viande et moi un bitoque (spécialité portugaise) composé de viande, un oeuf sur le plat, riz et frites. Dommage que les dernières n’aient pas été assez cuites…

Exposition « Van Gogh et les étoiles » – Paris

16 mars 2019

Après avoir vu l’exposition « Gustave Klimt » avec ma puce, il était évident que nous allions voir l’exposition sur Van Gogh. Cette fois-ci, Monsieur nous a accompagné. C’est donc en famille que nous sommes entrés dans l’univers de Van Gogh.

Vincent Willem Van Gogh (1853-1890) est un peintre et dessinateur néerlandais. Son oeuvre pleine de naturalisme inspirée par l’impressionnisme et le pointillisme, annonce le fauvisme et l’expressionnisme. Sa peinture reflète ses recherches et l’étendue de ses connaissances artistiques. Toutefois, sa vie est parsemée de crises qui révèlent son instabilité mentale. L’une d’elles provoque son suicide à l’âge de 37 ans. Source Wikipedia

Van Gogh

Épousant la totalité de l’espace de l’Atelier, cette nouvelle création visuelle et sonore retrace la vie intense de l’artiste tourmenté qui peignit pendant les 10 dernières années de sa vie plus de 2000 tableaux, aujourd’hui dispersés à travers le monde.

L’exposition parcourt l’immense production de Van Gogh, qui évolue radicalement au fil des ans, des Mangeurs de pommes de terre (1885), aux Tournesols (1888) en passant par La Nuit étoilée (1889) et à La Chambre à coucher (1889). Source l’Atelier des Lumières

Van Gogh

Comme précédemment, c’est à couper le souffle. Ma puce a autant aimé que Klimt, Monsieur a préféré le programme qui suit : Japon rêvé, images du monde flottant. C’est vrai que c’est très beau et la bande son est mieux trouvée que pour Van Gogh je trouve. Ma partie préférée ? L’envol de lampions… magique.

Ce qui m’a le plus ennuyé, ce sont les personnes qui ne respectent pas les consignes et donc pas les autres visiteurs… Il est bien indiqué partout avant d’entrer dans la salle qu’il ne faut pas s’asseoir contre les murs. Peut-être faudrait-il que du personnel soit présent dans la salle pour y mettre un peu d’ordre ?

14 mai 2019

Monsieur et moi avons été invités à une soirée privée à l’Atelier des Lumières (oui je sais, la chance !!!). Nous avons été accueillis par le directeur-adjoint de l’Atelier, il était accompagné d’une autre personne qui a lancé les programmes… d’une « simple » tablette.

Cette fois-ci nous nous sommes installés sur la mezzanine pour voir l’ensemble. Nous avons bien fait, j’ai perçu la séance totalement différemment de la dernière fois. La perspective est vraiment transformée. La vision est intégrale (du fait aussi qu’il y ait peu de personnes présentes), ce qui permet de voir toutes les projections sur les murs.

Van Gogh

A la fin des programmes, toujours depuis sa tablette, la personne accompagnant le directeur-adjoint a lancé des ambiances toutes aussi surprenantes. Nous avons quitté Auvers-sur-Oise et le Japon pour nous rendre dans la forêt amazonienne, puis sur les toits de Paris (nous étions sur le toit de l’Opéra là où nous nous trouvions dans la salle).

J’ai fait le tour pour voir les différents points de vue et j’ai découvert, tout au fond de la salle, une sorte de boîte dans laquelle nous pouvons entrer et qui est recouverte de miroirs. C’est étonnant et ç’a beaucoup amusé les enfants.

Van Gogh

Le fait d’être en petit comité dans ce lieu gigantesque m’a forcément aidé à apprécier la visite. J’ai hâte de savoir ce qu’ils ont prévu pour l’année prochaine.

Nous étions les rares à avoir déjà vu l’exposition et même à être déjà venus à l’Atelier des Lumières. Tout le monde a été subjugué par la mise en scène et la qualité des programmes.

Du 22 février au 31 décembre 2019 à l’Atelier des Lumières, métro Saint-Maur (ligne 3), Saint-Ambroise (ligne 9) ou Père Lachaise (ligne 2), 14,5€ plein tarif / 11€ tarif réduit / gratuit pour les moins de 5 ans